Aujourd’hui, nous allons parler de la course de taureau. En principe, elle est divisée en trois parties. C’est un spectacle, un folklore : il y a la musique de temps en temps, les toréros sont habillés tous en costume de lumière, c’est à dire beaucoup de doré, ils portent une coiffe spéciale aussi. Mais ils sont habillés en or. La première partie, c’est la sortie du taureau dans l’arène. Il est reçu par des toréadors qui agitent des capes rouges pour exciter le taureau. Le taureau court et court pour attraper les capes rouges. Premier mouvement c’est le picador. C’est la chose la plus cruelle pour le taureau. Le picador va blesser le taureau avec comme un grand mât de 10 cm de large qui est introduit par pression dans le dos de la bête. Une fois le taureau blessé, il s’arrête. Le picador est sur un cheval et le taureau s’attaque au cheval. Avant 1924, le cheval n’était pas protégé et à chaque course, il y avait un à trois chevaux éventrés. Après 1924, un homme qui avait le pouvoir par la force, a donné l’ordre de protéger le cheval d’une protection métallique et une sorte de matelas, pour que les cornes ne puissent pas pénétrer. Puis le deuxième mouvement démarre à la sonnerie d’une trompette. Il y a les banderilles, ce sont des harpons avec une pointe de 3 cm en acier qu’ils clouent, non seulement dans la peau mais aussi dans la chair. Quand le taureau marche, ça bouge à chaque fois. Dons il y a 3 paires de banderillas qui sont mis. Et nous arrivons au 3ème mouvement qui est la mort. Avec la musique, le matador arrive pour tuer la bête. Mais le taureau bouge très peu, car il est déjà très fatigué. Le matador vise le dos pour lui traverser le cœur avec une épée. Souvent, l’épée le traverse et sort de l’autre côté. Une fois, l’intervention du matador, le taureau tombe. A ce moment-là, un type donne le dernier coup à la tête avec un couteau. La torture dure 30 minutes en moyenne. C’est d’une cruauté tellement énorme que les députés de ma région de Girona avaient interdit la course de taureau dans tout le département.
Et moi j’espère que cela disparaisse dans des endroits importants comme Madrid et Barcelone, c’est une atteinte au monde animal et c’est monstrueux.
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