vendredi 12 octobre 2012

PSAUME 104



         PSAUME 104, v 1 à 11
           
1 Mon âme, bénis l’Eternel !
Eternel, mon Dieu, tu es infiniment grand !
Tu es revêtu d’éclat et de magnificence !
2 Il s’enveloppe de lumière comme d’un manteau ;
Il étend les cieux comme un pavillon.
3 Il forme avec les eaux le faîte de sa demeure ;
Il prend les nuées pour son char,
Il s’avance sur les aies du vent.
4 Il fait des vents ses messagers,
Des flammes de feu ses serviteurs ;
5 Il a établi la terre sur ses fondements,
Elle ne sera jamais ébranlée.
6 Tu l’avais couverte de l’abîme comme d’un vêtement,
Les eaux s’arrêtaient sur les montagnes ;
7 Elles ont fui devant ta menace,
Elles se sont précipitées à la voix de ton tonnerre.
8 Des montagnes se sont élevées, des vallées se sont abaissées,
Au lieu que tu leur avais fixé.
9 Tu as posé une limite que les eaux ne doivent point franchir
Afin qu’elles ne reviennent plus couvrir la terre.
10 Il conduit les sources dans des torrents,
Qui coulent entre les montagnes.
11 Elles abreuvent tous les animaux des champs ;
Les ânes sauvages y étanchent leur soif.

Commentaires

C’est un hommage au Seigneur en glorifiant l’eau qu’il répand sur la terre en veillant à ne pas inonder.

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